Vœux de bonne année 2022
Les futurs contingents : La nouvelle actualité
Suivie de la symbolique dans le bouquet de fleurs
Serait-il nécessairement vrai qu’une chose peut être ou ne pas être ? C’est la forme de la proposition qui détermine si elle est vraie ou si elle n’est pas fausse. La question (infra) propose une alternative caractérisant une proposition contradictoire. Aristote[1] a insisté sur le lien qui conjugue l’unité des arguments de la proposition et leur distinction en soi. Aristote identifie que les choses sont en puissance de leurs contraires, d’être ou de ne pas être.
S’il est apparu la nécessité de l’une ou l’autre des alternatives, étant en première approximation déterminée par la cause, elle peut être donnée comme vraie ou fausse. Cette nécessité (récusant la fatalité, faisant néanmoins l’objet de controverses) ne vaut que pour une référence spatiale et temporelle précisée, pour autant que la chose s’est produite ou non. Donc, on ne peut pas conclure à la nécessité d’évènements futurs qui ne dépendent que de l’acteur. Après-coup, l’un des arguments de la proposition apparaît vrai, l’autre apparaît faux, qu’il fut ou pas nécessaire. La référence au principe de non-contradiction chez Aristote renvoie à un espace qui est celui de la puissance des contraires du point de vue de la logique, mais pas du point de vue ontologique parce qu’il faut tenir compte du « Tiers-inclu » (S. Lupasco).
Parmi les « Tiers inclus » nous avons les coûts-performances cachés (H. Savall et V. Zardet, 1995, 2004), et par extension les coûts sociaux, les coûts induits non calculés ni provisionnés, les coûts cachés externalisés dissimulés par transitions à envisager (écologiques, environementaux, diversité, énergétiques, sanitaires…). Tout cela fait beaucoup de coûts non comptabilisés, non matérialisés par des actifs comptables et financiers, auxquels il faut ajouter les coûts actualisés des investissements souhaités et de plus en plus contraints. Finalement, tous ces coûts seraient étrangement moteurs de l’économie. Certes, mais ils représentent aussi l face cachée d’un icenberg éonomique. Ils n’apparaissent qu’après-coup, y compris sur des longs termes et à cet égard ils apparaissent également comme inflationnistes. Qu’on ne nous dise plus cependant que c’est impossible de les provisonner dans les comptes des entreprsies et corrélativement de banques publiques, à la lumière de la théorie des futurs contingents. Ils pourraient même être provisionés en bourse sur des bases forfaitaires, les dividendes calculés après leur déduction. Les États disposerait ainsi d’un cagnotte pour financer le développement économique et social, et faire du social un acteur du développement équitable et socialement responsable des marchés. Les acteurs seraient ainsi proactifs pour réduire leurs externalités, soit réduire leurs coûts et créer de la vraie valeur économique. L’économiste François Perroux avait envisagé l’idée d’une économie humaine pour tous.
L’étude du rapport entre la chose et la pensée fait l’objet d’écrits doctrinaux depuis le XIIIème siècle. Parmi les points importants, Aristote avait aussi traité le problème du rapport entre la nécessité conditionnelle ou inconditionelle. Les écrits d’Aristote ont ouvert la voie à la théorie des futurs contingents. Les travaux successifs [A. Le Grand, S. G. d’Ockham, A. de Cantorbéry, St Augustin, A.M.S Boèce, M.T Cicéron ; A. d’Hippone (St Augustin), J. Le Rond d’Alembert, P. Aureolo (P. Auriol) … E. Kant…] la qualifieront à trois facteurs, car entre « être et ne pas être » il y a bien un lien qui contient les propriétés de la négation, mais aussi celles de l’affirmation – À dessein, dans une opposition, ce que l’un affirme pour vrai peut-être faux pour l’autre, et réciproquement ce qui est tenu pour faux par l’autre peut-être vrai pour l’un. Dans le champ de l’économie et de la gestion, cette opposition, que le contrat n’efface pas, soit donc qu’elle demeure en puissance, fonde une structure qui contient la transformation et le changement dans le registre de l’altérité économique dénégative. En lisant les coûts du changeent, on peut aussi les réduire en valeur actualisée notamment.
Cette problématique afférente au statut ontologique – référée au principe de la causalité relativement à un espace-temps – est au fondement de la validité de la connaissance scientifique et de ses usages. La responsabilité du checheur est engagée, et la recherche scientifique n’est pas une tanière. Les théories comportementales de la contingence (T. Burns et G. Stalker, P. R. Lawrence et J. W. Lorsh, J. Wooward et C. Perrow, J. P. Scheid, M. Crozier et E. Friedberg, A. Chandler, G. Friedemann, H. Mintzberg…), la réfère le plus souvent à l’observation in situ de manifestations en caractérisant une matérialité structurelle ou fonctionnelle. Toutefois dans cette perspective, le simple fait de poser une hypothèse relativement à l’observation d’un fait selon une valeur d’affirmation ou de négation induit le principe de contradiction, à savoir le contradictoire.
La référence freudienne a plutôt été l’ambivalence identifiée à partir des couples d’opposés, qui est la source de la conflictualité au sein des organisations humaines. L’ambivalence pulsionnelle (nonobstant le débat entre la représentation qui formalise à la connaissance et l’énergie qui informe, débats et controverses qui ne concernent pas que la spychanalyse, mais toutes les sciences) est à la base de la transformation conduisant à la formation des émotions, de la pensée et de la connaissance. La cause (les causes sont toujours multifactorielles cependant) peut être approchée dans le jeu des impressions sensorielles. La transformation s’envisage au niveau de la représentation, mais elle mobilise de l’énergie, ce qui souligne la dimension ontologique des facteurs de contigence. S’en tenir à la dimension cognitive est prendre le risque de mutiler sa pensée. Certes, la transformation est ouverte, mais elle est aussi contingente, ne serait-ce que de son propre processus de transformation. Ce qui est paradoxal, est l’opposition des arguments, vrai ou faux, ou encore possible ou impossible, qui place respectivement et paradoxalement chaque interlocuteur dans une position où il se trouve à nier l’appréciation relative à la réalisation possible ou non d’un évènement. Si nous tendons un peu l’oreille, nous observons que cette position est très fréquente dans les débats, même dans les débats dits contradictoires, lorsque s’opposent les croyances, les idéologies, les positions théoriques… rapportées depuis des lustres par les receuils historiographiques de Diodore d’Agyrion (cf. Diodore de Sicile). L’humanité lui doit largement la conservation des écrits de l’antiquité gréco-romaine.
Le raisonnement logique a parfois des failles. Le principe de non-contradiction se fonderait-il sur un biais cognitif dont les épistémologies devenues épistémé n’ont guère débattues que tardivement, bien qu’il fut admis qu’une chose peut exister ou ne pas exister effectivement, tandis qu’elle existerait en puissance selon une valeur l’affirmant ou la niant. Aristote, de ce monde, approfondirait certainement encore ce point de vue. La raison a ses raisons, mais le principe de contradiction est bien à la base de notre vie intellectuelle. Là où on s’y attendrait le moins, c’est à la lecture de la Timée de Platon, d’Archytas de Tarente disciple de Pythagore de Samos et ami de Platon (dont le vrai nom serait ou aurait pu être Aristoclès ?) et de Démocrite d’Abdère, ainsi que la lecture des travaux de Ernst Mach qui ouvrirent la voie de la théorie de la relativité restreinte, qu’Heisenberg [2016 (1969)] révèle avoir trouvé son inspiration (l’idée de recherche…).
La subversion de la pensée est souvent requise pour transformer ou conduire un changement transformateur. Par exemple, en management, les observations rendent compte de transformations dans un espace inertiel [cf. travaux de K. Lewin relativement au champ de force, tandis que ses travaux originaux ont porté sur l’espace hodologique (K. Lewin, 1917)] parce qu’elles ignorent en fait l’unité de l’hétéronomie des forces en divisant l’espace entre l’interne et l’externe – il y aurait donc un biais cognitif – tandis que la transformation s’opère dans des référentiels non inertiels si l’on considère les mouvements de (et dans) l’espace – ne serait que parce que la transformation est normalement majorante et se compose dans la dynamique des structures. Les raisonnements logiques courants découplent la transformation de l’objet et celle de l’espace, ce qui fait qu’une inférence par le mode de l’induction ne valide que la vraisemblance d’un résultat de recherche qui serait de facto réfutable, faisant rarement l’objet d’une critique lors des révisions pour la publication en science du management. Or le concept de l’espace hodologique est construit à partir de la physique contemporaine, tandis que celui du champ de force se réfère à la physique classique.
Le référentiel dépend d’abord du point d’observation. Un espace peut être inertiel ou non interiel selon le point de vue. Normalement, si cette observation est celle d’un humain, il est toujours relatif à un espace non intertiel. De très nombreuses théories en management et en conduite du changement raisonnent dans des espaces inertiels, dont une part des observations est un donné auquel l’acteur doit s’adapter [François Perroux a renversé cette manière d’observer avec le concept de l’Unité Active, pour soutenir que c’est l’acteur qui transforme son environnement]. Certes, les espaces sont transformables en leurs correspondances, et si la connaissance n’est pas absolument valide, elle reste néanmoins actionnable. Toutefois, une transformation entre deux espaces inertiels est impossible. La transformation doit s’envisager dans l’unité et la dynamique de son espace d’efficicence.
Les observations critiques (subversives !) ouvrent la voie au mode de la pensée inchoative. Il n’y a jamais rien au commencement de quelque chose. Cette voie ouvre à celle de l’approche énantiologique [définie comme la recherche de la primitive du mouvement de la pensée dans un espace-temps à partir de laquelle une transformation entre dans des états successifs. Cette pensée s’intéresse aux étapes inchoatives] qui examine la modalité inchoative d’une situation ou d’un phénomène, et son corrélat l’approche hodologique => retour donc sur les travaux originaux de K. Lewin (1917). La science du management aurait à questionner ses bases expérimentales… et de se pencher, comme l’écrit Paul Dirac (1930) sur les contradictions dont rend compte la seule expérience… Là où une transformation apparaît comme une rupture (une discontinuité), elle n’est en fait qu’une continuité (R. Thom, 1990) nonobstant la catastrophe qui l’oriente y compris vers un contraire car là aussi les contraires sont des multiples… Mais qu’est-ce qui a inspiré Heisenberg ? tout simpement le calcul matriciel, ce qui aura sauté aux yeux de Max Born alors directeur de recherche du post-doc Heisenberg…
Concernant les perspectives ouvertes pour la recherche en management, suggérons aux chercheurs en management, en gestion, en économie… d’aller y voir de plus près la perspective ouverte par l’approche socio-économique des coûts et perfomances cachés (H. Savall, 1989 ; H. Savall et V. Zardet, 1995, 2004) – retenons cette référence aux coûts-performances cachés car elle induit un raisonnement ontologique dans le cadre du futur contingent – dont l’existence fait encore largement l’objet d’appréciations dénégatives.
Au commencement d’un changement, il y a toujours une transformation, et le changement se construit sur les constructions de la transformation. Consécutivement, il apparaît que changement et transformation ne sont pas commutatifs. Leur commutativité relève d’un biais cognitif. Les premiers travaux de K. Lewin (1917) raisonnaient déjà en géométrie non commutative. Il faut tenir compte de ce que les données entre différents référentiels ne se commuttent que partiellement. La transformation n’interveient que si elle est envisagée sur la base travail de fond dans un dispositif instituant un métacadre (E. Jaques, 1965 ; J. Bleger, 1967 ; R. Kaës, 2012), ainsi que l’on envisagé H. Savall et V. Zardet avec le cadre du constructivisme générique, ce qui permet d’envelopper la transformation dans un référentiel non inertiel qui est en mouvement par rapport à une antériorité de la situation. Ce sont les opérations de la transformation qui se commuttent. Ce référentiel est instituant et la transformation est réussie si le dispositif s’est institué dans les infrastcrutures du fonctionnement et du amangement de l’organisation.
Aristote y aura quand même bien vu en conservant le principe de l’indissociabilité des contraires (renvoyant à la théorie de la participation des contraires chez Platon), oublié cependant par la logique de l’intelligibilité de l’être au motif de unité de l’Un (Parménide), au motif que les propriétés de l’Un ne pouvaient comporter aucune contradiction qui conduira Aristote à affirmer le principe de non-contradiction. C’est confondre l’espace et le référentiel. Et de rappeler, que c’était la position de Socrate que nous faisons nôtre pour la transformation, qui indiquait « qu’être » et « ne pas être » ce n’était pas la même chose au regard des qualités, quoique « être » et « non être » s’oppose bien en logique (NB : la logique qui ignore le « Tiers inclu »). La perspective de la conjonction des opposés [(Héraclite d’Éphèse, et Platon dans Phédon > § 57a et § 71a)] et de l’énantiodromie sera remis en débats très tardivement, notamment avec les travaux de F. Nietzche (1886), mais aussi de B. Spinoza (1677), d’A. Schopenhauer (1819), de J. G. Tarde (1897), et plus récemment de C. G Jung (1916, 1920), J. Ellul (1954), Y. IllichCitons le billet de Christophe Faurie (2014) : Changement: Enantiodromie (christophe-faurie.blogspot.com). … Il faut remonter à Hippase de Mataponte, disciple de Pythagore, pour retrouver les rudiments du débat qui a animé les productions de philosophes et des mathématiciens de l’époque antique, Parménide et Héraclite.
Nous revenons ainsi à notre problématique. Platon (La République, IV, 436b) écrivait « Être en repos et en mouvement, simultanément, sous le même rapport, est-ce que c’est possible pour la même chose ? » nullement répondait-il ; car en effet une chose et son contraire n’appartiennent pas au même référentiel, quand bien-même l’espace serait le même… Au sein d’un groupe, et à quelques niveaux d’échelle des structures qui soient, « Nx » observations dans un même espace décrivent « Ny » référentiels dont le chercheur doit révéler le nouage énantiologique dans un référentiel générique « Nz en To… et son transformé en Tn ». Les acteurs peuvent être en résistance entre leurs propres référentiels qui sont les cadres de leur subjectivité, autour desquels se nouent les alliances conscientes et inconscientes, tandis que la métacadre est inadéquate et renforce la résistance également. La transformation s’opère dans le déplacement du référentiel propre des acteurs, que la psychanalyse en extension (R. Kaës), définie comme un infracadre (R. Kaës, 2012). Dans le travail clinique, les acteurs se déplacent dans le référentiel générique qui les soudent dans leur coopération (cf. : Métamorphose, Supra).
Par ailleurs, Les transformations sont toujours isomorphes dans les niveaux d’échelle des structures par nature ontologique. Le référentiel d’observation générique, par exemple un référentiel d’efficience économique, se transforme aussi dans le mouvement de la transformation ; il fournit le référentiel « Nz en Tn ». Comme le lit d’un cours d’eau, il n’est pas une ligne droite, mais décrit des fonctions inhérentes à la transformation de l’espace qui canalise la transformation de l’objet (la chréode, chez R. Thom, 1990). L’objet en transformation emprunte le lit de la chréode. Il peut se trouver que la chréode soit elle-même transformée (le cours de l’eau sort de son lit et prend une autre trajectoire = métamorphose). La métamorphose est une transformation simultanée de l’objet et de son espace. De même, la conversion des coûts-performances cachés réalise une métamorphose. La fonction la plus courante est de type cubique f(x)3, décomposable en ses états quasi-stationnaires [représentation retenue par K. Lewin (1947)], caractérisant une suite de bifurcations sur sa trajectoire. Concernant l’option méthodologique, le chercheur doit cependant intégrer le Tiers-inclu (S. Lupasco) qui est le dispositif en transformations. Pour Stéphane Lupasco toutefois, « A » et « Non A » peuvent être simultanés dans le registre des propriétés (cf. : Qualités chez Socrate). Chaque observation a donc plusieurs valeurs possibles, caractéristiques d’un champ en fonction de leurs combinaisons dans le registre des futurs contingents – combinaisons identifiables dans une matrice de calcul matriciel pour évaluer la loi de composition (Cf. à cet égard les travaux de W. Bion et de J. Piaget). Ce qui conduit à faire observer que le changement repose sur la substruction de la transformation. Certes, sa manifestation apparaîtra comme une transformation. Pour autant, l’une n’est pas l’autre.
En situation de management et conduite d’un changement transformateur, il y a lieu d’être vigilant car les facteurs de contingence sont cachés pour partie significative et prégnante. Dans le champ des futurs contingents, des facteurs jugés pertinents sur le court terme, peuvent ne pas l’être sur le long terme, ce qui fait apparaître qu’ils ont bien deux valeurs tangibles au moins qui ne s’opposent pas seulement, car elles sont en conjonction. À dessein, la conversion des coûts-performances cachés valorise la valeur de cette conjonction, caractérisée par exemple par un ratio déterminant la performance de cette celle-ci (cf. infra : facteurs de contingence à trois valeurs), qui serait l’indicateur d’une meure pertinente relativement à la création de valeur effective.
Et les fleurs dans tout cela ?
Leur signification caractérise un fait civilisationnel et anthropologique. Elles peuvent inspirer le chercheur qui souhaiterait réorienter l’observation de son objet de recherche.
- Les fleurs symbolisent tout la fois la vie et sa précarité.
- Le papillon sur les fleurs est symbole de la métamorphose, à savoir de la résurrection du salut.
- Applon métamorphose le sang de son ami Hacynthe qu’il vient de blesser à mort. Aussi la Jacynthe a une signification funèbre.
- Le Narcisse (narkissos) est le symbole de l’amour de soi-même, mais il a pour racine « narkao » (engourdir) qui renvoie à la mort.
- La signification de l’une des fleurs de la Vierge Marie, l’Iris (Lys en épée en allemand ; le Lys de France étant à l’origine un Iris), est donnée comme suis dans l’Évangile « Et toi-même, un glaive te transpersera l’âme ».
- Le cyclamen, dont la signification permière symbolise la libido et la conception, renvoie à la douleur qu’éprouve la Vierge Marie lors de la mort de son fils sur la croix.
- La symbolique de l’anémone « anemos » (vent) trouve sa source dans l’écoluement du sang d’Adonis de Vénus qu’Éros vient de blesser en le frôlant avec la pointe d’une flèche.
- L’œillet (fleur de Dieu) trouve sa légende d’origine dans les larmes de la Viere Marie qui se tranforment en œillet, tands que son fruit (petit clou) symbolise les clous sur la croix.
- La rose symbolise l’amour et la pureté, mais aussi le martyre avec la couronne d’épines sur la tète de Jésus.
- La violette, symbole de l’humilité et de la modestie, nâit de l’écoulement du sang du dieu Attis qui se transforment en violettes, puis du sang d’Atta qui se tue à son tour en le découvrant inanimé.
Source : Impelluso L. (2004). La nature et ses symboles, Paris, Éditions Hazan, 384 p.
Au terme de cette lecture que j’espère instructive et utile pour nos futures recherches…
Je vous adresse, au nom du Conseil d’Administration et du Conseil Scientifique de l’I.P&M, tous mes vœux de bonne année…
Daniel Bonnet
Président de l’I.P&M
[1] Aristote. De l’interprétation. Chapitre 9. Traduction de J. Tricot (1994), éditions Vrin, pp. 102-103